Cette petite vidéo (3 minutes) montre bien les liens existants entre la dégradation de la biodiversité et l'apparition des virus.
Elle propose une solution qui passe par l'aide aux pays pauvres, devant assurer une veille rigoureuse sur leurs territoires.
On évalue à 800 000 le nombre de virus potentiellement dangereux, susceptibles d'attaquer l'espèce humaine.
La journaliste n'évoque pas ceux existant dans le permafrost (25% des terres gelées de l'hémisphère nord), qui en libérera aussi des quantités importantes, si nous n'arrivons pas à stopper le réchauffement qui le fait fondre.
Le permafrost contient environ 1700 milliards de tonnes de gaz
à effet de serre, soit le double du CO2 actuellement présent
dans l'atmosphère.
Par effet domino, sa fonte pourrait s'emballer si nous ne maîtrisons pas le réchauffement.
La Sibérie souffre déjà du phénomène naissant, en voyant ses routes et ses bâtiments s'affaisser. Des virus congelés dans la glace, comme l'anthrax, refont leur apparition et s'attaquent aux troupeaux.
On sait aujourd'hui, que contenir le réchauffement climatique à + 1,5° par rapport au début de l'ère industrielle (accord de Paris), est impossible, en raison de l'insuffisance des mesures prises.
L'appétit des grands groupes gaziers et pétroliers est tel
qu'ils convoitent l'Arctique, accessible aux forages avec le
dégel. La plus grande partie de ces énergies fossiles doit
rester dans le sol, sous peine d'amplifier encore le
réchauffement et les échappements viraux.
Pourtant, la Banque Centrale Européenne (BCE) et nos banques
continuent à les subventionner... avec notre argent.*
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