Avant d'officialiser son alliance avec Rachline, Masquelier avait commandé un sondage auprès de l'IFOP. Les 801 interviews ont été réalisées dans la CAVEM, par téléphone, du 24 au 29 juin 2020.
Il s'agissait de savoir, entre autre, si on continuerait à l'aimer, malgré tout*.
Je vous rappelle que, selon leurs dires à tous les deux, tout cela est purement technique et n'a rien de politique.
C'est qu'avant les épousailles, le futur marié avait des doutes, tout de même! Il a une carrière à faire et l'ambitieux voit bien au-delà des ateliers de Beauvau.
Il a donc décidé d'enquêter sur ce que penserait de lui la
plèbe, s'il décidait de franchir le ... Pédégal.
Le chef national de LR disait non. Chirac avait dit, jamais. Les électeurs n'étaient pas au courant.
La transgression était donc forte.
Et encore ne parlait-on pas encore de "Première vice-présidence" à cette époque!
L'argent de nos impôts est vraiment utilisé à bon escient!
*Le titre précis était: "L'impact de l'accession de David Rachline à une vice-présidence de la CAVEM sur l'image de Frédéric Masquelier." Et la question était formulée ainsi: "Si le futur président de la CAVEM, le Maire de Saint-Raphaël Frédéric Masquelier, acceptait de travailler et proposait une vice-présidence à David Rachline, le maire Rassemblement National de Fréjus, et à plusieurs membres de son équipe diriez-vous que l'opinion que vous avez de Frédéric Masquelier serait améliorée, détériorée, ne changerait pas?"
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