Hier, dans le Lot, Emmanuel Macron a été interpellé sur
l'étiquette de "président des riches" qui lui colle à la peau.
Sa réponse a été nette: "Il faut produire des richesses pour redistribuer... Est-ce qu'on peut massivement taper les gros, idée qu'on adore chez nous? On peut le faire, mais les gros s'en vont!"
Et de conclure, à propos de l'accusation de "président des riches": "Je m'en fous!"
C'est l'occasion de revisiter une sélection de ses petites phrases.
"Vous n'allez pas me faire peur avec votre tee-shirt. La meilleure façon de se payer un costard, c'est de travailler!"
"Il y a chez Gad (abattoir de poulets breton) une majorité de femmes, pour beaucoup illettrées. Ces gens là n'ont pas le permis de conduire. On va leur dire quoi?"
"Une gare, c'est un lieu où on croise des gens qui réussissent et des gens qui ne sont rien."
"Je ne céderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes."
"On met un pognon de dingue dans des minima sociaux. On met trop de pognon, on déresponsabilise et on est dans le curatif."
"Le seul responsable, c'est moi. Qu'ils viennent me chercher!"
"Il n'y a pas un endroit où je vais, où ils ne me disent pas qu'ils cherchent des gens. Il suffit de traverser la rue."
"Certains, au lieu de foutre le bordel, feraient mieux d'aller regarder s'ils ne peuvent pas avoir des postes là-bas."
"Il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaires."
"Le libéralisme est une valeur de gauche."
"Les Britanniques ont la chance d'avoir eu Margaret Thatcher."
"Je suis pour une société écologique, mais je ne suis pas
pour une société Amish."
Et puis, pour finir, la parodie de Trump qui sortait de l'accord de Paris: "Make our planet great again*."
Depuis, côté écologie, je suis tout de même resté beaucoup sur ma fin!
Quant au reste, chacun jugera...
*Rendre sa grandeur à la planète
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