Masquelier à l'école

 Une classe va fermer dans l'école maternelle située à quelques centaines de mètres des bureaux du maire de Saint-Raphaël.

Fermer une classe ne fait jamais plaisir. Mais faut-il pour autant que Masquelier en fasse autant!

"Stupéfaction! Inacceptable!"

Après fermeture, il y aurait 23 élèves par classe.

Et rendez-vous compte, il y a en moyenne dans chaque classe, 1 enfant handicapé et 1 enfant dont la langue maternelle n'est pas le français!

La belle affaire! Pourquoi ce besoin de stigmatiser des classes ordinaires. Il ferait mieux de se réjouir du bon accueil fait à ces élèves, plutôt que de les montrer du doigt dans la presse. 

En agissant ainsi, pense-t-il vraiment à ces enfants et à leurs parents! Aimerait-il qu'on montre ainsi du doigt ses propres enfants?

Et pour ce rien qu'il monte en épingle, il fait un recours gracieux.

Je doute fort que le juriste aille jusqu'au dépôt de plainte au tribunal administratif. Il sait qu'il perdrait.

Il ignore peut-être que ses pairs ont été consultés au Conseil départemental de l’Éducation nationale et que la décision ne lui appartient pas.

Il pourrait aussi s'interroger sur sa politique du logement. Pourquoi y a-t-il moins d'enfants dans sa ville?

On attend avec désolation l'acte 2, quand il va surjouer dans son rôle favori de victime de la "dictature bureaucratique."

L'école et ses élèves serviront à mettre en valeur l'acteur principal.

Comme disait Ginesta: " à vouloir être Zorro qui veut tout régler, il n’est en fait que le sergent Garcia souvent désarçonné par sa monture…"