Les chercheurs estiment à 25% le bénéfice sur le réchauffement, qui pourrait provenir de nos modifications de comportements.
C'est bien, mais insuffisant pour stabiliser le climat.
Je
rappelle qu'il y a quelques jours, la température était identique à
Paris et au Groenland.
Il faut un effort de la communauté pour agir sur les infrastructures et en faire une priorité absolue, dont toutes les autres décisions découleront, aux niveaux local, national et international.
Dans notre démocratie, cet effort passe par le vote et le vote passe par la connaissance et la clairvoyance.
Ne suivez pas les candidats qui promettent de façon contradictoire, à la fois priorité à une croissance forte et à une lutte véritable contre le réchauffement.
La baisse des émissions passera de façon incontournable par
une réduction de la production et une taxation pour
décourager l'utilisation des énergies fossiles, sans
impacter les plus pauvres. En attendant que dans une
vingtaine d'années au plus tôt, la fusion nucléaire puisse
nous sortir de là, si les chercheurs et les industriels
arrivent à rendre opérationnelle la production d'électricité
à grande échelle.
La fusion nucléaire, c'est: pas de gaz à effet de serre, peu de radioactivité, pas de
risques d'explosion, quelques milliers d'années devant
nous...
Tous ces efforts sont notamment portés par le projet ITER (International thermonuclear
experimental reactor) qui réussit l'exploit
de faire travailler ensemble près de Cadarache, les
scientifiques de 35 pays, dont la Chine, la Russie, les USA
et les pays de l'Union européenne.
L'enjeu est là. Tout le reste n'est que du baratin!
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