Var-matin, dans son édition du 11 mars 2021, relate le premier
conseil municipal des jeunes de l'année, à SAINT-RAPHAËL.
Voici quelques extraits choisis de cet article:
"Sous la présidence du maire, les jeunes n’ont éludé aucun sujet entre l’environnement, la culture, la solidarité, les loisirs, les sports et… l’écologie.
"Il y a ici bien plus d’écologistes que dans mon propre
conseil municipal.
Vous êtes le vivier du parti écologiste", a lancé
le maire.
Si l’environnement a été un sujet récurrent, le harcèlement à l’école a aussi été très largement évoqué lors d’un long tour de table. Tant et si bien que la Ville a décidé d’organiser en faveur des enfants une réunion spécifique sur cette problématique.
"Le harcèlement à l’école sera la thématique de cette année", tranche le maire."
Il reste que, s'il a à en connaître et à prendre éventuellement
des mesures au niveau de la commune, le harcèlement scolaire
relève d'abord de l'institution scolaire.
Un programme d'actions impliquant les élèves et les parents est
conduit en milieu scolaire. Le conseil d'école pour le premier
degré et le conseil d'administration dans les établissements du
secondaire sont concernés. C'est dans ce cadre que le maire, qui
est membre de droit de ces instances, peut s'impliquer.
Il peut également intervenir dans le cadre du Conseil Local de
Prévention de la Délinquance (CLSPD), en accord avec le Parquet et
les services de l’État (police et responsables de l’Éducation
nationale).
Toujours est-il qu'entre l'écologie et la violence scolaire, le maire a fait son choix pour cette année.
Porté par son nuage sécuritaire, Frédéric MASQUELIER veut être au centre de tout. Il semble avoir oublié que les pères fondateurs de l'école républicaine ont instauré des compétences partagées entre les maires et l’État.
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