La photosynthèse:
Les arbres sont à l'origine de la photosynthèse.
Avec de l'eau et le gaz carbonique de l'atmosphère, ils fabriquent de la matière en libérant de l'oxygène nécessaire à la vie.
Avec de l'eau et le gaz carbonique de l'atmosphère, ils fabriquent de la matière en libérant de l'oxygène nécessaire à la vie.
La respiration:
Mais comme ce sont des êtres vivants, les arbres respirent, tout comme nous.
C'est à dire qu'ils prélèvent de l'oxygène pour oxyder la matière vivante en produisant de l'énergie.
Cette énergie leur est nécessaire, par exemple, pour transporter la sève jusqu'à la cime.
Ce mécanisme complexe provoque le rejet de gaz carbonique.
Mais comme ce sont des êtres vivants, les arbres respirent, tout comme nous.
C'est à dire qu'ils prélèvent de l'oxygène pour oxyder la matière vivante en produisant de l'énergie.
Cette énergie leur est nécessaire, par exemple, pour transporter la sève jusqu'à la cime.
Ce mécanisme complexe provoque le rejet de gaz carbonique.
L'inversion:
Quand tout va bien, la photosynthèse est gagnante, le solde est positif. Les arbres fixent plus de gaz carbonique qu'ils n'en rejettent.
Mais quand il fait trop chaud pour les arbres et que le sol manque d'eau, le phénomène s'inverse.
La respiration l'emporte sur la photosynthèse, la fixation de gaz carbonique chute alors que les arbres continuent à en rejeter. dans l'atmosphère.
Les arbres perdent leurs feuilles prématurément et finissent par mourir.
Quand tout va bien, la photosynthèse est gagnante, le solde est positif. Les arbres fixent plus de gaz carbonique qu'ils n'en rejettent.
Mais quand il fait trop chaud pour les arbres et que le sol manque d'eau, le phénomène s'inverse.
La respiration l'emporte sur la photosynthèse, la fixation de gaz carbonique chute alors que les arbres continuent à en rejeter. dans l'atmosphère.
Les arbres perdent leurs feuilles prématurément et finissent par mourir.
Le temps:
En conditions favorables, les arbres vivent en moyenne une centaine d'années, voire beaucoup plus.
Dans moins de trente ans, les arbres que nous plantons aujourd'hui devront pouvoir supporter plusieurs semaines d'été à 50°.
Aujourd'hui, même la croissance du pin d'Alep montre des signes de ralentissement.
Pour 2035, la hausse de température est ficelée par ce que l'homme a déjà mis dans l'atmosphère.
Pour 2100, on a encore le choix entre +2° ou +6°.
Pour 2100, on a encore le choix entre +2° ou +6°.
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