Celui qui croyait au ciel et celui qui n'y croyait pas

 

Qu'est-ce que j'apprends?

En voyage à Chypre, le pape vient d'annoncer qu'il ramènera une cinquantaine de migrants au Vatican.

"Jeanne, au secours", comme disait le borgne.

Ce François est fou!

Mais vous ne le savez peut-être pas: c'est un récidiviste.

Déjà, en 2019, il avait fait grimper une trentaine de migrants dans son avion.

Et en 2016, à Lesbos, il avait embarqué une douzaine de Syriens.

Et aujourd'hui encore, notre Méditerranée est devenue pour lui "un cimetière froid sans pierre tombale."

Ça ne peut plus durer!

Heureusement, Z veille: "Toute ma culture, c'est le christianisme, j'en suis imprégné",affirme-t-il.

Et son pote Ciotti a entièrement raison. Il faut inscrire nos "racines judéo-chrétiennes" dans la constitution.

Sinon, c'est "le Grand Remplacement!"

C'est que le traitre du Vatican n'y va pas de main morte. Il a osé dire, dans son discours de Bari, que "la Méditerranée a une vocation particulière" et qu'elle "est la mer du métissage."

Et pire encore, il a affirmé que: "la pureté des races n’a pas d’avenir."

Z, Ciotti et quelques autres s'assoient tous les jours sur le message de l’Évangile, au nom du christianisme, en désobéissant au chef.

Et chez ces gars-là, le chef, c'est sacré. Plus que le bon Dieu. C'est ça le problème!

Ils ne respectent plus rien. Ils sèment le désordre, la chienlit: des gilets jaunes du christianisme.

La civilisation du doigt d'honneur nous envahit. C'est le Grand Remplacement!

Celui qui croyait au ciel et celui qui n'y croyait pas...