La division par deux des effectifs en CP et CE1 dans les quartiers prioritaires n'a pas apporté les résultats escomptés.
Elle ne résout pas l'insuffisante prise en charge des élèves en difficulté d'apprentissage sur l'ensemble du territoire, qui ne pourra se régler que par une véritable formation professionnelle des enseignants.
La nation doit permettre à l'école de retrouver la place qu'elle n'aurait jamais dû quitter.
A l'époque des défis mondiaux complexes ( climat, crises financières, pandémies, révolutions technologiques), nous ne pouvons pas faire l'économie d'une école performante pour tous.
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