Les 50% les plus pauvres détiennent 6% du patrimoine.
Les 10% les plus riches (patrimoine supérieur à 607 000€) en
détiennent 55%.
Le patrimoine médian est de 163 000€ (la moitié des Français
possède moins, l'autre moitié a plus).
52% des Français sont ouvriers ou employés.
En 40 ans les inégalités entre les riches et les pauvres se sont creusées, malgré une hausse moyenne du niveau de vie.
Avec Macron, ce sont les détenteurs du capital qui ont gagné le
plus, grâce aux mesures fiscales qui ont été prises.
En effet, les gains les plus forts proviennent de la suppression de l'ISF et du prélèvement forfaitaire unique sur les revenus du patrimoine (on applique un taux unique à tous les revenus du capital, sans progressivité).
Cet impôt de 12,8% est
inférieur à l'impôt sur le revenu des moins bien payés des
contribuables taxés à 14%.
Cette baisse continue de l'impôt sur le
bénéfice des entreprises est continue depuis 1985. Il était de
45% en 1985. Macron l'a accélérée pour la monter à 23%.
Aujourd'hui, les plus pauvres ayant dépensé l'allocation de
rentrée scolaire attendent les 100€ du chèque énergie, en se
désespérant de la baisse de l'APL.
Pour progresser, un pays n'a pas besoin de renforcer ses
inégalités.
Il lui suffit d'élever le niveau d'étude et de
professionnalisation de sa population.
Les Américains, qui avaient 90% de lycéens dans les années
soixante, quand nous n'en avions que 20%, l'avaient très bien
compris.
Aujourd'hui, ce sont les Chinois, des pays d'Asie, les Australiens, les Canadiens, les Estoniens, les Danois et les Finlandais qui ont compris.
Les plus malins ont même compris que l'équité renforçait l'excellence!
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