Entre la rumba et le mambo, la politique du cha-cha-cha bat son plein, sur fond de câlinothérapie et d'imposture.
Quand elle doit rencontrer Lecornu à Matignon, Marine Le Pen s'y rend avec un chat, en oubliant son Bardella...
La responsable du Rassemblement national dé-dia-bo-lise!
Et ça marche.
Peu importe si l'entretien annuel d'un chat en France, équivaut à 2 fois le salaire moyen annuel d'un Africain du Soudan du Sud.
Ça marche!
Soudan du Sud, où Bayrou a pistonné Michel-Kleisbauer pour aller faire ambassadeur.
Je vais encore me faire mal voir des amoureux des chats et peut-être même des centristes en politique.
Les chats, je les aime bien à la campagne pour me débarrasser des mulots.
Mais les voir à Matignon, pour abuser la multitude, ça me hérisse le poil.
Je ne comprends toujours pas que ceux qui rejettent l'égalité, préfèrent les animaux domestiques à leurs semblables.
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