Dédiabolisation-réhabilitation à la fréjusienne... 1/2

 

Vendredi soir, essai de dédiabolisation-réhabilitation à Fréjus.

Rachline a obtenu une messe en mémoire de Jean-Marie Le Pen, que le clergé de Toulon avait refusé.

Dans la cathédrale Saint-Léonce, on compte un peu moins de 60 présents, élus, chauffeur de Rachline et Rachline compris.

Soit moins de 1 "paroissien" pour 1000 habitants.

2 policiers nationaux, 12 policiers municipaux battent la semelle. 

A 18 heures 10, le curé bat le rappel pour Rachline, qui bavarde sur le parvis. 

Deux lycéennes, qui passent par-là, s'étonnent de voir qu'"Il y a des flics partout!"

Un d'entre-eux vérifie que "ça a commencé".

Un autre prend son téléphone et annonce à ses pairs que "vue la fréquentation, on dégraisse!"

Un policier pour cinq habitants! Manifestement, Rachline attendait plus.

Après la poignée de main à François et le dégagement de l'évêque, encore un bide!

Pourtant, Var-matin assure. 

Après avoir recherché l’œil de Le Pen, il y a quelques jours*, il a annoncé la messe**, puis a commenté "l'événement", riche de "dizaines de personnes".***

Le journaliste a même réussi à trouver une vieille militante descendue du canton de Fayence, pour témoigner. Elle avait rencontré le défunt dès 1981, vous vous rendez compte!

Pour la paroisse, il ne s'agit pas d'un geste politique. Il s'agit seulement d’œuvrer " pour le repos de l'âme de Monsieur Jean-Marie Le Pen".

Il va avoir du boulot, le curé!

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