Tous les
êtres vivants sont interdépendants et les ruptures peuvent provoquer en chaîne
la disparition des écosystèmes. Ces derniers fonctionnent essentiellement avec
ce que j’appellerais la biodiversité ordinaire, même si cette appellation n’est
pas très scientifique.
Protéger le
loup des Carpathes ou le tigre du Bengale est bien sûr très important. Mais,
tout près de nous, existent des espèces qu’il est incontournable de défendre
contre toute atteinte, même si certaines se voient peu. Ce sont les
micro-organismes (qui dégradent et recyclent), les invertébrés (comme les insectes
et les araignées) et l’ensemble des plantes.
Leur
raréfaction est toujours liée à l’action de l’homme qui détruit les
habitats naturels.
Les deux
principaux vecteurs de destruction sont :
- La
pollution (autoroute A8, circulation en ville, ferries à quai, pollution des
usines de Fos ramenée par les vents marins en retour, installation d’usines en
centre ville, mauvaise gestion des déchets…).
-Le
changement d’usage des sols, comme le drainage des zones humides (La Palud à Fréjus),
l’abattage des arbres et
l’urbanisation intensive (les exemples ne manquent pas).
Je vous
propose aujourd’hui de visiter le site de l’Inventaire National du Patrimoine
National (INPN).
Il vous
permettra de mieux connaître les différentes espèces vivant dans la cinquième circonscription, et en
particulier les 147 qui sont les plus menacées et que nous devons protéger.
L’INPN nous
propose même de devenir « explorateur de la nature » en participant
bénévolement à l’inventaire des espèces.
Pour connaître notre programme pour l'élection législative:
https://www.groupeecologisteetsocial.com/
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