Dans un article de Var-matin du 20 novembre
2020, repris sur ce blog le 12 février dernier, j’évoquais le
nombre de 48 000 morts en FRANCE liés à la pollution de l’air.
Avec une dépense annuelle par habitant de 990€, FRÉJUS se situe dans le peloton de tête des villes les plus polluées de l'étude. Elle identifie seize coûts socioéconomiques, tels que les frais médicaux (asthme, bronchite des enfants), les hospitalisations, les arrêts de travail et la moindre espérance de vie.
Une étude publiée il y a quelques jours par la revue scientifique Environmental Research nous annonce qu’avec 97 242 décès par an en FRANCE, le nombre de décès retenu précédemment était très en dessous de la réalité.
Cela signifie que 17,3% des décès sont
liés à de l’air extérieur pollué par les énergies
fossiles.
Comme à FRÉJUS, on ne le voit presque pas,
on ne le sent pas toujours.
Et pourtant, quel désastre !
L’OMS devra nécessairement revoir ses critères de référence puisque les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), cancérogènes, sont les premiers concernés.
Souhaitons que le préfet ait connaissance de l’étude de ces chercheurs de HARVARD et qu’il hésite un peu plus à renouveler l’autorisation d’exploiter les usines polluantes du CAPITOU…
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